Le Festival Fantastic’arts de Gérardmer est un événement catastrophique, dont la nullité de la programmation n’a d’égale que la médiocrité de l’accueil réservé au public, se déroulant fin janvier.
La responsabilité en incombe totalement à la société privée, ironiquement appelée « Public Système » (« Bénéfice Système » lui irait mieux), s’occupant d’événementiel, en dédaignant totalement l’esprit cinéphile, qui devrait animer ce genre de manifestation.
Je pourrais en raconter des tonnes sur les abus des organisateurs, et le mépris du public, observés dans ce fest des années durant, mais comme il vit ces dernières années, « ne tirons pas sur l’ambulance » !
Sachez tout de même que c’est le seul et unique festival, où vous achèterez (horriblement cher) un pass pour tout le festival, sans jamais être certain de pouvoir rentrer dans la salle, pour mater une séance.
En effet, les billets sont honteusement survendus, et on vous fera attendre une demi-heure sous la neige, avant de remplir la salle d’invités sponsorisant la chose, pour finalement vous fermer la porte au nez, en vous annonçant que c’est complet.
On ne voit ça nul par ailleurs, il n’y a qu’à Gérardmer que ça se passe ainsi, vous êtres prévenus.
Par contre, d’un point de vue strictement personnel, j’ai énormément de bons souvenirs liés à ce fest, où je me suis fais beaucoup de potes, malgré les conditions déplorables.