NIFFF 2016 : la création suisse rencontre la relève internationale du
cinéma de genre
Le Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (1-9 juillet 2016) est heureux de vous dévoiler son programme 2016, une sélection inédite tant au niveau
des productions nationales qu’internationales.
Le Festival propose cette année une véritable radiographie de la production contemporaine au travers de ses compétitions et ses sections non-compétitives et souligne
cette année l’apport non négligeable du cinéma de genre suisse avec sa nouvelle section AMAZING SWITZERLAND.
L’Amérique latine est également à l’honneur avec le panorama EL DORADO dédié tant aux références cinématographiques qu’aux productions récentes et qui souligne
l’importance du cinéma de genre latino-américain sur l’échiquier mondial ainsi que l’émergence d’un tissu industriel fort sur ce continent.
De plus, le Festival propose une rétrospective des films de John Carpenter, invité d’honneur de cette 16ème édition, qui livrera également un concert exclusif en
Suisse le 6 juillet.
Le NIFFF en quelques chiffres
Avec un budget total de 1’800’000 CHF, le NIFFF 2016 c’est 9 jours de projections, 5 salles dont 1 open air et une capacité simultanée de 2’095 places.
Le NIFFF en quelques chiffres
Avec un budget total de 1’800’000 CHF, le NIFFF 2016 c’est 9 jours de projections, 5 salles dont 1 open air et une capacité simultanée de 2’095 places.
Les 150 projections publiques présenteront 102 longs métrages et 29 courts métrages produits par 42 pays différents avec 5 premières mondiales, 5 premières
internationales, 7 premières européennes et 52 premières suisses. 16 conférences et rencontres publiques seront également proposées.
Compétition Internationale
En 14 titres, la Compétition Internationale offre une sélection originale du cinéma fantastique au travers d’œuvres indépendantes réalisées par les auteur-e-s montant-e-s de la scène internationale, à commencer par Trash Fire (USA, 2016) de Richard Bates Jr., qui avait présenté Excision (NIFFF 2012), et Lo Chiamavano Jeeg Robot (Italie, 2015) de Gabriele Mainetti, un film de super-héros dans les milieux de la pègre italienne. Suivent Under The Shadow (Iran, Jordanie, Qatar, UK, 2016) de Babak Anvari qui livre un film coup de poing sur la condition féminine en Iran dans les années 80 et Detour (UK, Afrique du Sud, 2016) de Christopher Smith, auteur britannique qui a marqué le NIFFF avec le film Black Death (Prix RTS du Public en 2010).
Compétition Internationale
En 14 titres, la Compétition Internationale offre une sélection originale du cinéma fantastique au travers d’œuvres indépendantes réalisées par les auteur-e-s montant-e-s de la scène internationale, à commencer par Trash Fire (USA, 2016) de Richard Bates Jr., qui avait présenté Excision (NIFFF 2012), et Lo Chiamavano Jeeg Robot (Italie, 2015) de Gabriele Mainetti, un film de super-héros dans les milieux de la pègre italienne. Suivent Under The Shadow (Iran, Jordanie, Qatar, UK, 2016) de Babak Anvari qui livre un film coup de poing sur la condition féminine en Iran dans les années 80 et Detour (UK, Afrique du Sud, 2016) de Christopher Smith, auteur britannique qui a marqué le NIFFF avec le film Black Death (Prix RTS du Public en 2010).
Parmi les autres films attendus figurent Miruthan (Inde, 2016) de Shakti Soundar Rajan, un film de zombies qui chantent et
tombent amoureux, Grave (Raw) (France, Belgique, 2016), sensation horrifique de Cannes 2016, de la réalisatrice française Julia Ducournau, The Transfiguration (USA, 2016) de Michael O’Shea, un film à l’approche originale où un jeune afro-américain consommateur d’hémoglobine est fasciné par les vampires,
The Lure (Pologne, 2015) de Agnieszka Smoczyńska, une comédie musicale entre glamour et
horreur, et Swiss Army Man (USA, 2016) de Daniel Scheinert et Dan Kwan, qui met en scène un Daniel
Radcliffe en zombie atteint d’une aérophagie spectaculaire.
La tradition scandinave du genre n’est pas en reste avec Parents (Danemark, 2016) de Christian Tafdrup - acteur de la série
Borgen – dont c’est le premier film et qui livre ici une œuvre inédite entre drame et surnaturel.
New Cinema from Asia
Vitrine des dernières œuvres incontournables des grands talents d’Asie, la compétition asiatique 2016 se distingue cette année par son éclectisme.
New Cinema from Asia
Vitrine des dernières œuvres incontournables des grands talents d’Asie, la compétition asiatique 2016 se distingue cette année par son éclectisme.
En témoigne Creepy (Japon, 2016) de Kurosawa Kiyoshi, une
des grandes signatures du cinéma japonais, Seoul Station (Corée du Sud, 2016) de
Yeon Sang-ho, un talent émergeant du cinéma sud-coréen qui signe un film d’animation somptueux, Psycho Raman (Inde, 2016) de Anurag Kashyap, réalisateur
très en vogue de la nouvelle vague du cinéma indépendant indien.
Également sur le devant de la scène, Bitcoin Heist
(Vietnam, 2016) de Ham Tran, gros succès au Vietnam par le réalisateur montant de Hollow (NIFFF 2015). Pour finir et à ne surtout pas manquer Honor Thy
Father (Philippines, 2015) d’Erik Matti, réalisateur philippin bien connu du public du NIFFF qui livre ici un magnifique thriller psychologique.
Films of the Third Kind et Ultra Movies
La section Films of the Third Kind propose une sélection de thrillers les plus marquants de l’année.
Films of the Third Kind et Ultra Movies
La section Films of the Third Kind propose une sélection de thrillers les plus marquants de l’année.
A ne pas manquer : Mi Gran Noche (Espagne, 2015) de l’hispanique Álex de la Iglesia, Zeta (Italie, 2016), en première internationale, par Cosimo Alemà, un des
auteurs de la relève du cinéma de genre italien.
Les passionné-e-s de productions classieuses à grand spectacle seront conquis-e-s par The
Mermaid (Chine, 2016) du génial Hongkongais Stephen Chow et Baahubali: The Beginning (Inde,
2015) de S.S. Rajamouli, incroyable film épique.
The Ardennes (Belgique, 2015) de Robin Pront, ravira quant à lui les fans de film noir.
Pour agrémenter les soirées des festivaliers-ères, le NIFFF propose, dans la section Ultra Movies, des séances de minuit qui présentent le renouveau du cinéma
d’horreur et de l’extrême.
Démarrage en grande pompe avec le très attendu Yoga Hosers (USA, 2016) du mythique Kevin Smith, invité d’honneur au NIFFF en 2014 et Baskin (Turquie, USA, 2015),
premier film du Turc Can Evrenol, un opus ultra-stylisé et débordant d’idées.
Suivent The Devil’s Candy (USA, 2015) de Sean Byrne, une perle horrifique très efficace, Hentai Kamen: The Abnormal Crisis (Japon, 2016) de Fukuda Yûichi, la suite des aventures du super-héros en slip (NIFFF 2013), et pour finir The
Alchemist Cookbook (USA, 2016) de Joel Potrykus, un véritable uppercut cinématographique.
Amazing Switzerland
Afin d’offrir à son public une vision neuve et dynamique du cinéma suisse à son public, le NIFFF propose une nouvelle section qui diffuse des films de genres helvètes récentes et de qualité.
Amazing Switzerland
Afin d’offrir à son public une vision neuve et dynamique du cinéma suisse à son public, le NIFFF propose une nouvelle section qui diffuse des films de genres helvètes récentes et de qualité.
AMAZING SWITZERLAND propose Das Kalte Herz (1933 - 2016, Suisse) de Karl Ulrich Schnabel, projeté en première mondiale et finalisé par Raff Fluri, Aloys (2016,
Suisse, France) de Tobias Nölle et Late Shift (2016, Suisse) de Tobias Weber, premier film interactif au
monde et qui fera l’objet d’une tournée NIFFF ON TOUR dès octobre 2016.
Histoires du genre
La quatrième édition du programme Histoires du genre propose un voyage temporel, géographique et artistique dans le cinéma de genre à travers des documentaires inédits parmi lesquels trois œuvres du mythique réalisateur et critique de cinéma français Yves Montmayeur, à savoir : Dragon Girls! (France, 2016), en première mondiale, The 1000 Eyes of Dr Maddin (France, USA, 2015) et Viva La Muerte! (France, 2009).
El Dorado : un panorama du cinéma de genre latino-américain
Alors que tous les yeux sont fixés sur le continent latino-américain qui fait figure de terre promise pour l’avant-garde du cinéma fantastique, le programme inédit du NIFFF 2016 El Dorado désire offrir, en deux volets, une radiographie d’une génération émergente d’auteurs ainsi qu’une sélection des références cinématographiques incontournables des années 1950 à 1980.
Histoires du genre
La quatrième édition du programme Histoires du genre propose un voyage temporel, géographique et artistique dans le cinéma de genre à travers des documentaires inédits parmi lesquels trois œuvres du mythique réalisateur et critique de cinéma français Yves Montmayeur, à savoir : Dragon Girls! (France, 2016), en première mondiale, The 1000 Eyes of Dr Maddin (France, USA, 2015) et Viva La Muerte! (France, 2009).
El Dorado : un panorama du cinéma de genre latino-américain
Alors que tous les yeux sont fixés sur le continent latino-américain qui fait figure de terre promise pour l’avant-garde du cinéma fantastique, le programme inédit du NIFFF 2016 El Dorado désire offrir, en deux volets, une radiographie d’une génération émergente d’auteurs ainsi qu’une sélection des références cinématographiques incontournables des années 1950 à 1980.
Ce panorama promet des découvertes cinéphiles avec notamment les premières suisses de Muerte en Buenos Aires (Argentine, 2014), thriller de Natalia Meta, Quando eu
era vivo (Brésil, 2014), drame horrifique de Marco Dutra, Daemonium: Soldier of the Underworld (Argentine, 2015), film de science-fiction de Pablo Parés et Tenemoslacarne (Mexique, France, 2016),
film d’horreur surréaliste de Emiliano Rocha Minter.
Suivent la grande première mondiale du thriller Downhill (Chili, Canada, France, 2016) que le réalisateur Chilien Patricio Valladares introduira au NIFFF ainsi que
la première européenne de la comédie sci-fi Ovnis en Zacapa (Guatemala, 2015) de Marcos Machado.
Le Festival organise également une table ronde autour du panorama El Dorado, à laquelle participeront des invités de renom dont : les Argentins Bernardo Bergeret,
chef des affaires internationales de l’INCAA et co-directeur du marché du film de Ventana Sur, Laura Sanchez Acosta, productrice du film Daemonium: Soldier of the Underworld, présenté dans ce
panorama et Simon Ratziel créateur et producteur.
Luis Ospina, le mythique réalisateur colombien dont le NIFFF présente les films Pura Sangre (Colombie, 1982) et Todo comenzó por el Fin (Colombie, 2015) fera
également l’honneur de sa présence tout comme le réalisateur mexicain Isaac Ezban, dont le film Los Parecidos fait partie de la Compétition Internationale au NIFFF cette année, Pablo Guisa
Koestinger, producteur et directeur du festival mexicain de Mórbido, Adrián Garcia Bogliano, réalisateur (Here comes the Devil,NIFFF 2013 ; Scherzo Diabolico, NIFFF 2015) et curateur du programme
El Dorado et, pour finir, la productrice mexicaine Andrea Quiroz.
Nous y sommes allés encore cette année, nous avons également assisté au concert de John Carpenter, nous vous communiquons ici toutes nos critiques de films et d'évènements vus à l'occasion de ce festival :
Nous y sommes allés encore cette année, nous avons également assisté au concert de John Carpenter, nous vous communiquons ici toutes nos critiques de films et d'évènements vus à l'occasion de ce festival :