La face cachée de l’iceberg
On commence à chercher l’accès à la tour blanche du maître par le dessous mais c’est un véritable labyrinthe où l’on finit par se perdre, puisque la remonter finit par se transformer en descente, et rapidement nous perdons toute notion d’espace et de position… On continue de marcher, sans trop savoir vers quoi nous nous dirigeons et finissons par atterrir à la sortie d'une grotte dans une sorte d’entonnoir géant, une sorte de cratère lunaire avec des machineries et surtout pas de ciel au dessus de nous, mais plutôt une vue directe sur la bulle de protection ainsi que les volutes d’énergie du non-lieu que l’on aperçoit très nettement. C’est un spectacle assez fantasque, sortant de l’ordinaire pour Hex alors que Loki à la désagréable sensation d’être de nouveau dans sa prison temporelle… une prison qui n’arrête pas d’essayer de le rappeler depuis quelques heures
Au loin, Loki aperçoit une machinerie gigantesque qui ressemble à un disque avec plein de tuyau, de boulons, d’engrenages, bref de machines dantesques de plusieurs dizaines de mètres de haut, accrochée à l’astéroïde sous la surface de Shamazantha.
En se rapprochant, non sans mal a cause des changements rapides de pression atmosphérique et de niveau d’oxygène, Loki en la découvrant plus en détail, est sûr qu’il s’agit d’une machinerie gouluz, a n’en pas douter car faîte de pierres noires, de sphères en or, incluant des matières vertes translucides qui se côtoient pour composer ce chaos mécanique.