LE CYCLE
La raison de l’existence de l’énergie Méga dans le réel est une synesthésie dimensionnelle, à l’image des lois magiques, ou des correspondances sensorielles, voire
poétiques.
La structure Méga du non-lieu pourrait faire référence (en 3d) à la source d’un fleuve labyrinthique, dont le cours s’achèverait par une cascade, qui
s’écraserait sans éclat, dans une lagune aux nombreux tourbillons.
Le flux, entraîné dans les trombes d’énergie tourbillonnantes, prendrait la forme d’une tornade inversée, qui rejoindrait enfin la source, dans un cycle sans fin,
tel un ruban de Moëbius.
Ces cinq grandes zones énergétiques se nomment le Törwitch (la source), la Hyome (le fleuve), les Salypses (la
cascade), l’Uggi (la lagune), et le Grênnh (la tornade inversée).
Le déplacement des choses dans cette structure s’opère par impulsion méga, ayant plus ou moins d’influence sur l’enchaînement des positions temporelles des choses
coexistant dans la même trame spatiale.
Ces choses, les non-créatures, peuvent être des sujets (conscients) ou des objets…
Ce déplacement peut donc se faire par le courant, « être-programme », sous-jacent à la présence des sujets et des objets, ça peut être aussi fait intuitivement, à
tâtons, ou encore par une véritable décision d’ordre spatio-temporelle (pour les sujets uniquement), cet acte volontaire ayant l’apparence d’une transe intentionnelle.