James Bond 007 est l'un des personnages les plus connus des amateurs de romans et de films d'espionnages.

Avec plus de vingt films portés à l'écran, l'agent secret britannique s'est construit une réputation et une renommée internationale rarement égalée.

Raison de ce succès ?

Un savant cocktail de courses-poursuites, de cascades, d'explosions, de créatures de rêve, d'ennemis impitoyables, de gadgets et de flegme britannique.

James Bond, le jeu de rôle, est le jeu de référence pour les amateurs de l'espion de sa MajestéIl est publié en 1983 par Victory Games.

Gerard Christopher Klug en est chef du projet, Gregory Gorden et Neil Randall conçoivent le système de jeu alors que Robert Kern apporte sa science concernant l'agent 007.

Ici, pas question d'espionnage à la petite semaine : les règles de ce jeu ont été taillées pour faire vivre des aventures palpitantes et explosives aux agents du M.I.6.

Alors, vérifiez que votre Walter PPK est chargé, prenez le volant de votre Lotus Esprit modifiée par les soins de Q, séduisez quelques mannequins, infiltrez la base secrète du méchant principal, faites tout exploser et recevez les félicitations du premier Ministre pour avoir sauvé le monde libre.

Le système de ce jeu a été taillé sur mesure pour cet univers.

Le niveau de compétence est multiplié par le niveau de difficulté de l'action entreprise (plus il est bas, plus l'action est difficile) pour obtenir un pourcentage de chance de réussite : un dé à cent faces et on sait si c'est un succès ou un échec.

Des points d'héroïsme permettent aux joueurs de modifier les résultats de leurs jets dans des situations critiques.

Simple et efficace.

 

Mon PJ se nomme YAMATO OSHIDA.

 

C'est un agent double, empoisonneur de l'Hydre, infiltré dans les services secrets britanniques implantés à Tokyo au Japon.

Malgré son nom d'emprunt, Oshida n'est pas japonais mais chinois, il est né dans les bas-fonds de Hong-Kong, et a grandi dans cette cité indépendante.

Il a 32 ans et travaille pour l'Hydre depuis 8 ans, même si son activité s'est davantage concentrée sur les renseignements que sur les missions actives.

C'est pour échapper aux ségrégations des japonais envers les autres peuples asiatiques, qu'Oshida s'est créé cette fausse identité de pur nippon.

Oshida parle l'anglais de Hong-Kong, et réalise les missions au service de sa majesté, mais dés qu'un intérêt lucratif pointe son nez, il détourne la mission au compte de l'Hydre.

Il pratique le Taï-chi, le Kung-fu du héron, et tire au PM UZI, mais c'est avant tout un expert chimiste adepte des poisons.

Oshida est précis et méticuleux, à la limite maniaque psychotique ! ;)

 

 

Retour