Messager Galactique Miles Guttierez

 

Archétype Fouineur

Sphère psy des Relations

Pouvoir de Télépathie

Espèce : Terrien

Époque d'origine : 21ième siècle (étudiant)

Langues parlées : Bétasorvant, anglais et espagnol

 

Background - MILES GUTTIEREZ
 
Miles S. Guttierez est un terrien issu du 21ème siècle.

Né en 2001 d'un père afro-américain et d'une mère portoricaine, il a vu le jour et a grandi à Brooklyn, New York.

Fils unique de Jefferson Koffi Guttierez -ancien militaire devenu officier de police- et de Gloria Maria Alonso -infirmière au Brooklyn Hospital Center-, le jeune Miles était un garçon timide, craintif et peu sûr de lui.

Plein d’esprit et toujours prêt à plaisanter, c’était un garçon pourtant très intelligent, montrant des aptitudes pour les sciences.

De condition modeste, ses parents l’avaient donc inscrit dans une école prestigieuse, la Brooklyn Visions Academy, dans l’espoir qu’il puisse y recevoir une formation avancée.

Le nombre de place étant limité, un certain nombre d’étudiants étaient sélectionnés par tirage au sort ; mais au-delà des prévisions les plus optimistes, Miles avait obtenu la dernière place à la loterie de cette "école à charte" et avait été pris.
 
Malgré la nouvelle, Miles n'était pas vraiment heureux.

Il se sentait coupable de s'être vu offrir une occasion aussi incroyable sans rien faire, uniquement par un coup de chance, et il estimait qu'il y avait bien plus d'enfants méritants qui auraient pu prendre sa place.

Néanmoins, pour ne pas décevoir ses parents, il fit contre mauvaise fortune bon cœur et intégra le cursus de la BVA. 
 
Miles avait des facilités et, sans trop se forcer, il parvenait à avoir la moyenne dans toutes les disciplines.

Il se distinguait particulièrement en sport, où sa vivacité, son endurance et son adresse développées dans la rue faisaient merveille, mais aussi pour les cours de sciences pour lesquels il se découvrit une vraie passion grâce au charisme de leur professeur, le Dr. Norman Polippo.

 

Au sein de l’établissement, il ne se mêlait guère aux autres élèves.

De nature solitaire, même s’il avait rejoint le groupe de musique du campus, il passait la plupart de son temps à jouer aux jeux vidéo avec son meilleur ami et compagnon de chambrée, Ned Ganke.

Il lui arrivait aussi de réviser ses cours avec la jeune Kathryn Lévêque.

Une séduisante orpheline d’origine française adoptée par un couple de riches new-yorkais perpétuellement en voyage, qui, bien que studieuse, dotée d’un fort caractère et faisant partie des meilleurs élèves, semblait tout aussi peu à sa place à la BVA que lui et qu’il draguait maladroitement.

Contrairement aux autres, celle-ci ne montrait aucun mépris pour lui malgré ses origines modestes…
 
Dès qu’il le pouvait, Miles s’éclipsait cependant du campus scolaire à la nuit tombée et rejoignait discrètement les rues malfamées de Brooklyn pour s’adonner à ses loisirs préférés : Graffiter les murs et pratiquer le parkour.
 
Miles avait toujours aimé dessiner et il gribouillait souvent des croquis dans ses cahiers scolaires.

Plus jeune, en compagnie d’autres gosses, il avait commencé à parcourir la ville pour taguer et c’est son oncle B.A., Benjamin Aaron Guttierez, qui l’avait alors initié au parkour.
 
Le parkour (PK) est une discipline sportive qui consiste à franchir successivement des obstacles urbains ou naturels, par des mouvements agiles et rapides (course à pied, sauts, gestes d’escalade, déplacements en équilibre, etc.) et sans l'aide de matériel.

Les pratiquants sont dénommés « traceurs ».

Le parkour est considéré comme un sport extrême à cause des risques de blessure en environnement extérieur mais surtout à cause de l’image spectaculaire véhiculée par les médias.

Cela va à l’encontre du parkour en tant que méthode d’entraînement, qui ne cherche pas la performance mais la progression à un rythme personnel.

Les traceurs emploient la devise « être et durer » pour indiquer la nécessité d’une progression relativement lente mais réfléchie.

En tant que loisir ou discipline sportive autonome, le parkour est apparu en banlieue parisienne, à Lisses, au début des années 1990.

Lors de la réalisation du documentaire Jump London en 2003, le mot parkour a été traduit par free-running pour le public anglais.

La voix off indique bien dès l’introduction « this is parkour, the anarchic new sport of free running » (« c’est le parkour, le nouveau sport anarchique de la course libre »).

Ainsi le terme free running (sans trait d’union) est une locution qui signifie « course libre ». 

Cependant avec la maturation de la pratique, il devient clair que certains pratiquants s’intéressent plus à l’aspect gymnastique et spectaculaire qu’à l’aspect utilitaire.

Certains revendiquent un moyen d’expression personnel sans limitation, par rapport à d’autres qui visent l’efficacité et l’utilité, la variante acrobatique du parkour s’approprie alors le terme freerunning et ses pratiquants sont nommés free-runners ou freerunners. 

Les motivations des traceurs sont similaires aux pratiquants d’autres sports, particulièrement des sports extrêmes : développement physique, aspect communautaire, plaisir, connaissance et dépassement de soi, performance, passion…

 

Ainsi le parkour peut être considéré comme une méthode d’entraînement, de développement physique ou un loisir sportif.

De plus les traceurs évoquent des raisons spécifiques au parkour :  Le parkour est dans la continuation naturelle des jeux d’enfants.

Un traceur a la même attitude que les enfants dans les cours de récréation qui aiment courir, sauter et grimper partout sans se demander pourquoi.

Le parkour, qui n’est pas codifié comme la plupart des sports, est une forme de liberté.

Il permet de franchir des obstacles censés barrer le passage et accéder à des endroits a priori inaccessibles.

Certains traceurs font le parallèle entre le franchissement d’obstacles physiques et le fait de surmonter les obstacles de la vie quotidienne.

Le parkour est utile au-delà du simple développement physique.

Les mouvements techniques permettent un déplacement efficace en cas de poursuite, de fuite, de sauvetage, ou simplement une bonne réception en cas de chute.

Ainsi les techniques du parkour sont employées par les pompiers de Paris.

Les traceurs qui cherchent l’utilité citent la devise de Georges Hébert « être fort pour être utile ».
 
Miles profitait aussi de ses virées nocturnes pour continuer de voir son oncle en cachette, et son père l’aurait grandement réprouvé s’il l’avait appris.

Dans leur jeunesse, B.A. et Jefferson avaient fait les quatre cents coups ensemble.

Les deux frères avaient un passé "louche", que Jefferson avait laissé derrière lui lorsqu'il avait rencontré la mère de Miles.

Benjamin par contre ne l'avait pas fait, et il avait continué de suivre la voie du crime.

Harcèlements, vols, escroqueries, règlements de comptes, kidnappings, trafic de matériel volé puis de drogue, il était progressivement devenu l’un des chefs de gang de Brooklyn.

Pourtant, il n’avait jamais cherché à corrompre son neveu, et quand Miles quittait en douce le campus de la BVA pour lui rendre visite certaines nuits, il se montrait bienveillant, l’encourageant à poursuivre ses études pour réussir honnêtement dans la vie, allant même jusqu’à l’aider pour ses devoirs scolaires. 
 
Jusqu’au jour où Miles le suivit subrepticement jusqu’à un immeuble désaffecté où B.A. faisait affaire avec un dénommé Khāņ.

Sous couvert d’un trafic de reliques d’origine dogon, ce-dernier cherchait à accroitre de manière exponentielle le marché du cannabis sur le territoire nord-américain, commençant à inonder les villes de la côte Est d’une nouvelle variété particulièrement toxique de marijuana.
Et l’oncle de Miles s’avérait un associé très prometteur…

 

Selon certaines rumeurs, la plante de cannabis n’est pas une plante terrestre.

Il s’agit de la seule plante sur Terre qui montre son sexe physique et on ne trouve des preuves de son existence que seulement à partir de 12’000 ans dans l’histoire fossile.

Le cannabis n’a pas d’ancêtres dans son évolution et sa structure d’ADN est unique dans le monde végétal (il n’existe qu’une seule plante qui s’en rapproche un peu et c’est la fraise). 

Le nom "Cannabis" est un mot grec avec des racines africaines : "Canna" veut dire "chien" ou "chiens" et "Bis" veut dire "deux".

Librement traduit, cannabis signifie alors "la plante des deux chiens", reliée à l’étoile "de chiens" (Sirius-B).
 
L’étoile la plus brillante visible depuis la Terre, Sirius, possède une étoile compagnon que sa forte luminosité escamote : Sirius-B, une naine blanche qui n’a été observée pour la première fois qu’en 1862, alors que Sirius est connue depuis l’Antiquité.

L’étoile Sirius est en effet observée depuis des siècles et, située dans la constellation du Grand Chien, Canis Major, elle était autrefois appelée Canicula, "petite chienne".

Se levant avec le Soleil pendant les mois d’été, on lui doit le terme de canicule.
 
Sur les collines des montagnes Bandiagara en Mali (entre la ville légendaire de Tombouctou et la ville de Ouagadougou) vivent les Dogons.

Ce peuple n’est pas seulement connu pour sa fabrication de bière, ses danses folkloriques, ses cérémonies masquées et son architecture authentique, mais aussi pour sa consommation de cannabis.
Vers 300 avant JC, l’historien écrivain grec Herodotus a visité les Dogons pendant leur fête annuelle pour honorer Sirius, l’étoile la plus claire dans le ciel.

Ils racontèrent à Herodotus que la plante "deux chiens", la plante de cannabis, provenait de cette étoile.

En avance dans l’astronomie, ils connaissaient donc Sirius-B, invisible à l’œil nu, et pour eux, cette plante était apportée par "les dieux de Sirius".
 
En fait, la communauté Dogon clame qu’elle a reçu ses connaissances d’extra-terrestres (organismes vivants en provenance d'ailleurs que de la Terre).

Ils expliquent qu’après avoir atteint collectivement une sorte de "paradis sur terre", en vivant en harmonie avec la terre et en ressentant un amour inconditionnel envers tous les aspects de l’univers, ils auraient atteint un point de communication où la télépathie est devenue possible.

Ils seraient ensuite entrés "en communion" avec le peuple Sirien, appelés les Nommos. 
Le fait demeure que les Dogons possédaient des connaissances astronomiques poussées, voire des instruments de pointe, et cela ne pouvait s’expliquer que de deux façons : un patrimoine culturel hérité d’une précédente visite extra-terrestre, une influence externe ne pouvant qu’être alien.

 

D'après eux, un soir de pleine lune, un vaisseau spatial très particulier est apparu dans le ciel et a atterri dans les plaines. Les visiteurs auraient alors creusé un énorme trou dans le sol et l’auraient rempli d’eau.

Ils y auraient sauté et se seraient approché de la rive pour prendre contact avec les Dogons.
Cette rencontre aurait pris place un 23 juillet, le jour où la Terre, le Soleil et Sirius sont alignés. 
Ils affirment aussi que le sphinx et beaucoup d’anciens temples égyptiens sont construits sur cet axe.

Il faut également savoir que l'ancienne culture égyptienne célébrait son "nouvel an" le 23 juillet.

Les Dogons croient que ce "contact" a été effectué dans le but d’amener les peuples de la Terre à comprendre leur véritable nature divine, et pour les aider à retrouver leur "unité" globale, les ramenant lentement mais sûrement à l’appartenance et à la compréhension de Dieu.

Ils affirment également que les Nommos reviendront sur terre à un certain moment.

Les Dogons prétendent également que les graines de la plante de cannabis aurait été amenées sur Terre par ces Nommos, pour aider les gens à évoluer.

Les Dogons associent la consommation de cannabis avec "une communion divine".

Il s’agirait d'un outil qui aurait été utilisé en d’autres temps et d’autres lieux, et remis entre autre aux Dogons pour leur conservation.

La plupart des cérémonies dogons incluent la consommation ou la combustion de la plante.

Le THC, le principe actif de la marijuana, est une molécule très complexe, et tout comme pour le système sirien, la science mit beaucoup de temps à comprendre le fonctionnement des molécules présentes dans la marijuana.
 
Pour les Dogons, les Nommos seraient une race d’amphibiens (être moitié homme, moitié poisson) assimilés à des dieux et venus du système d’étoile Sirius.

Ils sont décrits diversement, comme ayant la partie supérieure d’un homme et la partie inférieure d’un serpent, ou ayant une tête de bélier et un corps de serpent. 
Ils ressembleraient à des Ondins, des Sirènes ou des Tritons, et les Dogons les appelaient "Maîtres de l’Eau", "les Moniteurs", "les Enseignants ou Ėducateurs", "les Sauveurs" ou encore "les spirituels Gardiens".
 
Le criminel, avec qui l’oncle de Miles faisait affaire, dissimulait son visage derrière un masque dogon traditionnel et était vêtu d’amples tuniques bariolées.

Chef d’une secte dont les membres aux yeux écarquillés semblaient comme possédés, le Grand Khāņ, gourou machiavélique et sans pitié, était en réalité un Nommos renégat qui voulait développer sur Terre à grande échelle le trafic d’un cannabis de synthèse extrêmement toxique fabriqué sur sa planète.

Cette drogue, qui augmentait les capacités télépathiques de ses consommateurs, les plongeait rapidement dans un état de dépendance absolue et en faisait des esclaves dociles, des zombis décérébrés facilement manipulables par un puissant télépathe comme Khāņ. 
 
Mais ses agissements avaient attiré l’attention des Messagers Galactiques.

Le méga Kurt Plisken, qui appartenait à la même Section qu’un certain Gontran Gloubisch, fut donc envoyé sur cette Terre contemporaine pour enquêter et mettre fin à ses agissements.

Il pista le Nommos jusqu’à Brooklyn et décida d’agir au moment où celui-ci finalisait ses tractations avec l’oncle de Miles… la nuit même où Miles suivit ce-dernier en cachette jusqu’à cet immeuble désaffecté. 

Détectant les pouvoirs mégas latents du jeune homme et sa résonnance psionnique, Kurt Plisken décida d’utiliser l’aide de Miles, lui expliquant qui il était, ainsi que l’existence de l’A.G., et il le mit dans la confidence sur les raisons de sa présence.

Grâce à ses pouvoirs télépathiques, Khāņ repéra la présence du méga et le combat fut inévitable.

Dans le chaos qui suivit, un violent incendie éclata, menaçant de détruire le vieil immeuble.

Au mauvais endroit au mauvais moment, Miles fut brièvement exposé à la drogue synthétique sous son état gazeux et faillit mourir, ne devant son salut qu’à l’intervention de B.A. qui périt devant lui, tué par le Nommos.

Et celui-ci profita de la confusion pour s’enfuir.
 
Miles réussit à sauver des flammes plusieurs sans-abris qui squattaient le bâtiment, mais Kurt Plisken se retrouva écrasé sous les décombres en feu.

Il ordonna à Miles de l’abandonner, tout en murmurant des mots que l’adolescent n’oublierait jamais :

« De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités.

Un grand destin t’attend ailleurs … »
Effondré par la mort de son oncle et paniqué, Miles se précipita chez ses parents.

Mais devant la réaction de son père quand il commença à lui raconter les évènements nocturnes et le savon qu’il lui passa, il se garda bien de leur parler de ses soi-disant nouveaux pouvoirs et du méga.

Le jour suivant, de retour à la Brooklyn Visions Academy, il informa en revanche immédiatement son ami Ned, interrompant l’assemblage de son dernier chef d’œuvre Lego®, et Kathryn Lévêque. Enthousiaste, Ned fut emballé par la nouvelle mais la jeune fille, perplexe, se montra plus incrédule.
 
Mis au pied du mur par les sermons de son père, Miles passa les mois qui suivirent à s’adapter à la BVA et à s’investir davantage dans ses études, où il commença à exceller à la grande satisfaction et surprise du corps professoral, et notamment du professeur Polippo.

Néanmoins, il profitait de son temps libre pour chercher sur Internet avec l’aide de ses deux amis des indices concernant le fugitif Nommos, s’étant juré de venger son oncle et de retrouver Khāņ.

Parallèlement, Kurt Plisken avait pu informer les Messagers Galactiques des résultats de son enquête avant de disparaître dans les flammes.

Lorsqu’un autre méga, du nom de Norbert Frison, fut envoyé sur Terre trois mois plus tard, son chemin ne tarda pas à croiser celui de Miles qui avait pu découvrir entretemps le nouveau Q.G. du criminel.

Assisté du jeune étudiant, le méga réussit cette fois-ci à capturer le Nommos et Miles, malgré sa colère et son chagrin, ne put se résoudre à tuer l’extra-terrestre, se répugnant à prendre une vie quelle qu’elle soit.

Cependant, quelle ne fut pas la surprise de Miles quand Norbert Frison lui rendit visite le lendemain à la BVA, accompagné de ses parents ayant visiblement été convaincus de laisser leur fils unique quitter ses études, leur vie et la Terre pour se rendre sur une autre planète. 
 
C’est ainsi que Miles, pour faire plaisir à ses parents, quitta ses amis et rejoignit la Guilde des Messagers Galactiques, devenant un méga de type Fouineur, et de la Sphère des Relations, des pouvoirs de Télépathe.

Au cours de ses deux années de formation à Norjane, Miles se fit très peu d’amis.

De nature solitaire et parmi les plus jeunes recrues, il ne se lia d’amitié qu’avec Magnüs Atwood, un autiste social venu du futur, jeune tout comme lui et passionné de technologies, et Budi Ahmad, un gay excentrique qui l’accompagnait parfois lors de ses explorations urbaines dans la banlieue de la capitale norjanienne et dans son réseau souterrain.
 
Il fut ainsi soulagé d’être recruté par son ami Budi au sein de la « Section des Parias » du Major Linsay Mc Lambert qui regroupait les autres étudiants impopulaires.

Il était encore plus heureux d’y retrouver Magnüs qu’il surnommait affectueusement "l’autiste du futur".

En revanche, les dénommés Hallen Carter et Oskar Niemeyer lui faisaient un peu peur avec leur mine patibulaire et il ne se sentait pas très à l’aise avec le Go’auld Jolinar de Malkshur.

Quant à Valéria Edberg, dernier membre de la Section, elle lui rappelait son amie Kathryn en plus âgée et il la voyait un peu comme une grande sœur un peu coincée.

 

BACKGROUND DE MILES
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Description
 
Miles est un jeune homme noir à l'allure moyenne et de corpulence mince, aux yeux marron.

Âgé de 18 ans lorsqu’il intègre la Section du Major Mc Lambert, il mesure 1m77 et pèse 73 kgs.

Ses cheveux courts crépus sont coiffés avec une légère décoloration et ses traits sont une combinaison de son héritage mixte, à la fois hispanique et africain.

 

LOOKS DE MILES EN MISSION
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Carnet de croquis de Miles - mission 17
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Résumé des intermissions Salman-Miles
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