"La figue ne tombe jamais en plein dans la bouche." (proverbe Nyarwandien)
Ils passent la cascade en nageant sous l’eau, Aïsha aidant Loki, puis arrivent dans une caverne de pierre luminescente verte, Aïcha se met en transe pour léviter et Loki se sèche pour aider ensuite Corina à grimper sur lui et vole vers le tunnel sans toucher les parois. Ils atteignent une salle plus grande avec un escalier de pierre, un petit lac intérieur avec une petite île au centre dotée d’un immense arbre dessus. Ils sont aussi en vol dans la caverne de l’arbre. Ils s’en approchent et prononcent ensemble le mot “ Massoma ”. L’arbre commence à frémir et se tourne puis s’ouvre pour faire un passage (comme un puit à l’intérieur de son tronc, s’nfonçant sous terre). Loki passe en premier, suivi de Corina puis de Aïcha toujours en lévitation. Loki essaie de déceler des pièges, pas de présence de terre morte. La roche prend la place du bois, et ils avancent dans un escalier en colimaçon.
Ils débouchent par la porte d’une tour sur une grande salle avec deux autres tours (sûrement les deux autres passages y débouchent). Il y a différentes passerelles de communication entre les différentes tours. Des traces de végétation sont sur une certaines hauteurs des tours, mais rien ne pousse au sol (peut être la fameuse “ terre noire ” tygg mortelle). Aïcha est toujours en lévitation et Loki porte Corina pour atteindre une extrémité de la salle où il y a une paroi faite en proto matière noire tygg avec une sorte de grotte avec de nouveaux trois entrées.
Au niveau des entrées, sous des porches à moitié en ruine, il y a le noir absolu, comme dans le vide de l’espace. Corina déchire un morceau de son pagne, y met le feu pour éclairer l’intérieur. Il s’agit d’une salle à l’architecture étrange, comme “ holocamouflée ” par l’obscurité sous le porche. Dans la salle du milieu il y a une sorte de coffre cubique de pierre accroché dans le vide avec des dédales de pierres pour y accéder, il y a une sorte de forme golem cachée en dessous du pont. A droite il s’agit d’une salle débouchant comme sur une “ sortie imaginaire ” dans une sorte de forêt (ce décor n’a pas l’air vrai, encore comme une illusion psionnique), ils y repère également un golem endormi. A gauche il y a également une sorte de coffre cubique lui-même enfermé dans une sphère avec également une forme qui se cache derrière un pilier. Les deux coffres ont un système d’ouverture avec trois doigts. Corina penche sur la porte du milieu qui est plus ambiance cénobite (le coffre dans le vide est comme soutenu par des chaînes qui le suspendent, et les formes minérales imitent des chairs déchirées). Ils pénètrent donc dans la salle du milieu.
