2-1-5-1-3 LES MOYENS DE LOCOMOTION SPATIAUX
Les moyens de locomotion spatiaux sont accessibles au plus grand nombre, le prix des vols en transport en commun n’est pas si élevé, en vitesse subluminique, au sein d’un même système solaire.
Pour passer d’une étoile à l’autre, au sein d’une même confédération, ça devient un peu plus cher.
Pour changer de confédération, c’est carrément plus cher, à cause des frais douaniers.
Pour changer d’univers parallèle, et donc de galaxie, c’est totalement hors de prix, à cause des portes des étoiles très coûteuse en énergie.
Les commerçants intersidéraux préfèrent avoir leur propre vaisseau, afin de ne pas être dépendant des horaires de vol, et surtout ne pas payer des frais énormes pour leur cargaison.
Les gens très riche ont des yachts spatiaux pour voyager à leur gré.
Les vaisseaux spatiaux utilisent du carburant chimique pour leur propulsion, et électrique (panneaux solaires) pour leurs systèmes de survie, leurs équipements de contrôle de vol étant sur piles atomiques quasiment inusables.
Système radio et systèmes radars utilisent des hyper-ondes (des ondes voyageant en hyperespace).
Les boucliers de vaisseaux peuvent atténuer les dégâts des armes à rayon, mais pas des missiles explosifs.
Il existe quatre classes de vaisseaux spatiaux.
Les classe 1 vont du chasseur monoplace au petit yacht spatial familial.
Les classe 2 vont du modeste cargo commercial au gros porte containers minier.
Les classe 3 vont du croiseur de guerre au cuirassé porte chasseurs.
Les classe 4 vont de la base spatiale à la porte des étoiles.
Il y a des pilotes spécialisés pour chacune de ces classes de vaisseaux.
La vitesse subluminique se rapproche, sans l’atteindre, de la vitesse de la lumière, permettant de faire de grandes distances dans un système solaire sans avoir recours aux hibernateurs.
La vitesse hyperspatiale va aussi vite, voire plus vite, que la lumière, c’est la seule façon d’aller d’une étoile à une autre, en suivant les astro-routes pré-calculées.
La vitesse hyperspatiale s’explique par le passage d’une partie des molécules de l’engin dans l’intercontinuum, permettant ainsi une vitesse impossible pour cette masse selon la physique quantique (10% de la masse en vitesse hyperspatiale 1, 20% en vitesse hyperspatiale 2, 30% en vitesse hyperspatiale 3, 40% en vitesse hyperspatiale 4).
Hyperspatiale 1 c’est exactement la vitesse de la lumière.
Hyperspatiale 2 c’est le double de la vitesse de la lumière.
Hyperspatiale 3 c’est le triple de la vitesse de la lumière.
Hyperspatiale 4 c’est le quadruple de la vitesse de la lumière.
Les vaisseaux de classe 3 vont en hyperspatiale 1, les classe 2 en hyperspatiale 2, et les classe 1 en hyperspatiale 3.
Actuellement seuls les missiles et les hyperondes peuvent aller en hyperspatiale 4.