Dans mon appartement parisien, j'avais réservé un mur entier afin de pouvoir y accrocher d’immenses tranches de rouleau de papier canson.
Ainsi je pouvais y peindre des fresques monumentales, qui deviennent autant de fenêtres sur mon imaginaire dégénéré.
Ne peignant que de temps en temps, ces fresques mettaient des mois entiers à se concrétiser...
Depuis que je suis alsacien, je n'ai plus cette installation, mais parfois on me donne l'occasion de réaliser des fresques murales.